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La bataille de Val-ès-Dunes
Jarl Mer 30 Juil - 23:42
Boujou.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_du_Val-%C3%A8s-Dunes
Source : http://www.sivalesdunes.net/bat_val_es_dunes.html
Voila, après ces différents extraits et en faisant quelques recherches, j'aimerais avoir votre avis sur tous ce qui se rapporte à la bataille.
Les motivations des "conjurés" étaient elles honorables ? Gui de Brionne était il plus légitime que Guillaume ?
Si vous avez des documents sur le déroulement de la bataille, les différents béligérents et autres, n'hésitez pas à nous en faire part !
Amicalement.
Jarl.
La bataille de Val-ès-Dunes opposa au printemps 1047 le jeune duc de Normandie Guillaume dit le Bâtard, aidé de son suzerain le roi Henri Ier de France, à une coalition de barons normands rebelles de l'ouest du duché.
En 1046, après une dizaine d'années de trouble suivant la mort prématurée au retour d'un pèlerinage en Terre sainte du duc Robert le Magnifique, son fils et successeur désigné Guillaume échappe de peu à une tentative d'assassinat à Valognes organisée par des barons rebelles du Bessin et du Cotentin qui ont choisi comme chef Gui de Brionne, normand par sa mère et propre cousin du jeune duc.
Guillaume s'empresse de demander l'aide de son suzerain, Henri de France. Celui-ci lève en hâte une armée d'environ 10 000 hommes qui, alliés aux quelques 350 chevaliers et au millier de gens d'armes fidèles au duc, vont affronter, en 1047, les troupes rebelles dirigées entre autres par les puissants barons Rainulf de Briquessart, vicomte de Bayeux, Néel, vicomte de Saint-Sauveur, Hamon le Dentu, baron de Thorigny, Grimoald du Plessis et Raoul Taisson, seigneur du Cinglais, qui rassemblent autour d'eux environ 25 000 combattants dans la plaine du Val-ès-Dunes, située à 12km au sud-est de Caen et au sud-ouest de Chicheboville.
Beaucoup de rebelles, soit des païens (« Vieux Normands »), soit des chrétiens encore imprégnés de mythologie nordique et restés plus proches de leurs origines scandinaves que les Normands de l'Est, chargeront au cri de « Thor Aïe ! » (« Thor aide »). Ce sera la dernière manifestation viking en France.
Le récit de la bataille, basé sur le Roman de Rou de Wace (XIIème siècle), est décrit en détail dans une étude très complète et abondamment illustrée, éditée par le Syndicat d'Initiatives du Val-ès-Dunes. C'est un véritable désastre pour les conjurés et, dans leur fuite, beaucoup se noieront en tentant de traverser la rivière bordant le champ de bataille. « Heureuse bataille où en un seul jour, s'écroulent tant de châteaux », en dira un historien, car ce succès assoit l'autorité du jeune duc de Normandie.
Beaucoup de conjurés survivants, leurs forteresses démantelées, seront bannis ou s'exileront volontairement en Italie méridionale, où vivent de nombreux compatriotes. Un seul conjuré, Grimoald du Plessis, qui n'est pas natif du duché mais d'origine germanique, sera emprisonné et exécuté par le duc; un cas rare car souvent, Guillaume donne son pardon.
La verte province retrouve pour un temps la paix et la prospérité.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_du_Val-%C3%A8s-Dunes
LA BATAILLE DU VAL ÈS DUNES
(ÉTÉ 1047)En 1046-47, le jeune Guillaume de Normandie échappe de peu à un guet-apens fomenté par ses barons rebelles de l’ouest de la Normandie qui ont choisi comme chef Gui de Bourgogne, propre cousin du jeune duc.Guillaume s’empresse de requérir l’aide de son suzerain, Henri 1er de France. Celui-ci lève une armée de 950 hommes environ qui, alliés aux quelques 350 fidèles de Guillaume vont affronter, au cours de l’été 1047, un nombre équivalent de conjurés dans la plaine du Val ès dunes située au sud-ouest de Chicheboville.Le récit de la bataille, basé sur « le Roman de Rou » de Wace (XIIe s.), est décrit en détails dans une étude très complète et abondamment illustrée éditée par le Syndicat d’Initiative du Val ès dunes , « Sur les pas de Guillaume en Val ès dunes ».C’est un véritable désastre pour les conjurés.
Source : http://www.sivalesdunes.net/bat_val_es_dunes.html
Voila, après ces différents extraits et en faisant quelques recherches, j'aimerais avoir votre avis sur tous ce qui se rapporte à la bataille.
Les motivations des "conjurés" étaient elles honorables ? Gui de Brionne était il plus légitime que Guillaume ?
Si vous avez des documents sur le déroulement de la bataille, les différents béligérents et autres, n'hésitez pas à nous en faire part !
Amicalement.
Jarl.
Jarl- Administrateur/Responsable de l'Action Normande
- Nombre de messages : 138
Age : 32
Localisation : Bayeux (14)
Avis sur la réunification : Pour
Date d'inscription : 05/01/2008 -
Re: La bataille de Val-ès-Dunes
Jarlot Jeu 31 Juil - 5:22
(J'ai eu du mal à mettre en forme, il y a encore des beugs et je vois pas pourquoi 
)
Le combat permit à guillaume de démontrer sa force, sa
vaillance et sont art tactique. Ce furent les évolutions de la cavalerie
normande qui l’emportèrent sur les farouches cavaliers du Cotentin, car les
forces françaises, mis à part un corps de chevaliers, restèrent en appui et ne purent rejoindre à temps pour participer à toute la bataille.
Alors que les troupes massées allaient en venir aux mains et
que le centre composé de l’élite de la chevalerie se préparait à charger, Henri Ier et Guillaume, qui inspectaient les forces en présence, virent une masse imposante de chevaliers, lance haute, qui attendait à l’écart, comme
spectateurs de ce qui advenait sous leurs yeux.
Celui qui paraissait en être le chef, superbement monté et armé,
caracolait devant eux. Lorsqu’il vit Guillaume, le chevalier se dirigea vers
lui, le regarda avec insistance, retira son gant et lui en frappa négligemment
le genou, lançant avec un grand rire jovial :
« Moi, Raoul de Taisson, sire du Cinglais, j’ai fait le serment de
frapper le duc Guillaume. Voilà qui est fait. Maintenant, mes lances et mes
soldats sont à vous. »
L’étrange personnage enleva son cheval au galop et vint se placer devant ses chevaliers.
L’apport de cette force nouvelle servit les desseins du duc qui la jeta sur le flanc de l’ennemi, déconcerté de se voir chargé par une partie de sa propre cavalerie.
Le combat dura une partie du jour. Les actions d’éclat illustrèrent cette chevalerie normande, si malencontreusement divisée. Le roi lui-même combattit et eut son cheval renversé. Cette chute du roi de France fut célébrée par tout ceux qui la virent et en parlèrent longtemps. Guillaume, de son côté, avait fait merveille, et parfois les combattants des deux camps s’étaient arrêtés pour regarder le champion normand se mesurer avec des adversaires dignes de lui.
Raoul de Taisson ne le quittait plus, enthousiasmé par la force et la vaillance de celui qu’il avait pensé renverser en acceptant d’entrer dans la conjuration.
Les combats les plus acharnés sont livrés par les chevaliers du Cotentin, animés du vieux souffle païen qui fuse de leurs rangs houleux : « Thor aïe ! » Ce cri de guerre provoque la réponse des chevaliers normands : « Dex
aïe ! »
Les adversaires les plus réputés se cherchent dans la mêlée, se joignent enfin. Un noyau de fureur s’isole autour duquel le combat cesse momentanément. Le duel dépasse la notion de la bataille engagée. C’est l’affrontement des héros qui requiert toute l’attention passionnée des témoins.
[…]
Guillaume cherche celui qu’il veut provoquer et abattre, car c’est l’âme réelle de la révolte : Arnulf de Bayeux (Traitre Jarl
). Ce dernier distingue de loin cette immense stature qui se dirige vers lui. Une subite frayeur le saisit devant la menace qui approche, grandit, va le rejoindre et prend des proportions terrifiantes. Il tourne bride et fruit derrière ses compagnons, hors de portée de Guillaume entouré de ses éclairs de sa grande épée qui tranche, pointe, pare, siffle. Les coups résonnent dans tout le corps du jeune guerrier qui cogne comme un bûcheron dans la masse qui se presse, cède, s’écarte, lui livre passage, mais en vain car Arnulf est loin.
Raoul de Taisson, grisé par le spectacle de cette ardeur vengeresse, suit Guillaume, foulée après foulée, pare les coups qui lui sont destinés. Les clameurs lancées par sa voix de stentor évoquent celle de quelque dieu des batailles. Son rire énorme éclate dans la joie de cette ivresse guerrière qui entraîne les chevaliers normands et les jette sur leurs adversaires, qui refluent.
Les rives de l’Orne sont atteintes. Piétons débandés, chevaux, cavaliers démontés s’y précipitent pour échapper à la vague d’armes brandies qui les submerge, de poitrails écumants qui les culbutent.
C’est la défaite des coalisés. La première victoire de Guillaume qui, en quelques heures de combat a su conquérir l’admiration des vaincus comme des vainqueurs.
[…]
Les conjurés étaient écrasés, malgré la fureur quasi sacrée des grands guerriers scandinaves du Cotentin en proie au beersek.
Gui de Brionne se réfugia dans sa forteresse de Brionne, sur une île de la Risle où Guillaume établit un siège de longue durée.
Guillaume, vainqueur, fit montre d’une grande mansuétude qui étonna aussi bien ses amis
que ses ennemis.
[…]
Guillaume ne donne pas libre cours à ses ressentiments contre les chefs rebelles, agit sans hâte, les laisse s’inquiéter, puis les reçoit et le traite en amis retrouvés après une séparation qui facilite l’oubli. Il se rallie ainsi les vaincus. Seul, Gui de Brionne, enfermé dans sa forteresse, sur la Risle, résiste à l’offensive de la raison. Il ne se rendra que trois ans plus tard.
[…]
En désignant ainsi publiquement celui qu’il tenait pour responsable, Guillaume démontre la faillite de la conjuration et, par sa clémence, le peu de cas qu’il en faisait. La passivité avec laquelle les alliés de Gui de Brionne acceptèrent l’emprisonnement virtuel de leur chef démontre l’habileté de cette politique qui contribua à l’apaisement des esprits.
Veuillez excuser les erreurs de saisies, il est tard et j'ai sommeil
)Le combat permit à guillaume de démontrer sa force, sa
vaillance et sont art tactique. Ce furent les évolutions de la cavalerie
normande qui l’emportèrent sur les farouches cavaliers du Cotentin, car les
forces françaises, mis à part un corps de chevaliers, restèrent en appui et ne purent rejoindre à temps pour participer à toute la bataille.
Alors que les troupes massées allaient en venir aux mains et
que le centre composé de l’élite de la chevalerie se préparait à charger, Henri Ier et Guillaume, qui inspectaient les forces en présence, virent une masse imposante de chevaliers, lance haute, qui attendait à l’écart, comme
spectateurs de ce qui advenait sous leurs yeux.
Celui qui paraissait en être le chef, superbement monté et armé,
caracolait devant eux. Lorsqu’il vit Guillaume, le chevalier se dirigea vers
lui, le regarda avec insistance, retira son gant et lui en frappa négligemment
le genou, lançant avec un grand rire jovial :
« Moi, Raoul de Taisson, sire du Cinglais, j’ai fait le serment de
frapper le duc Guillaume. Voilà qui est fait. Maintenant, mes lances et mes
soldats sont à vous. »
L’étrange personnage enleva son cheval au galop et vint se placer devant ses chevaliers.
L’apport de cette force nouvelle servit les desseins du duc qui la jeta sur le flanc de l’ennemi, déconcerté de se voir chargé par une partie de sa propre cavalerie.
Le combat dura une partie du jour. Les actions d’éclat illustrèrent cette chevalerie normande, si malencontreusement divisée. Le roi lui-même combattit et eut son cheval renversé. Cette chute du roi de France fut célébrée par tout ceux qui la virent et en parlèrent longtemps. Guillaume, de son côté, avait fait merveille, et parfois les combattants des deux camps s’étaient arrêtés pour regarder le champion normand se mesurer avec des adversaires dignes de lui.
Raoul de Taisson ne le quittait plus, enthousiasmé par la force et la vaillance de celui qu’il avait pensé renverser en acceptant d’entrer dans la conjuration.
Les combats les plus acharnés sont livrés par les chevaliers du Cotentin, animés du vieux souffle païen qui fuse de leurs rangs houleux : « Thor aïe ! » Ce cri de guerre provoque la réponse des chevaliers normands : « Dex
aïe ! »
Les adversaires les plus réputés se cherchent dans la mêlée, se joignent enfin. Un noyau de fureur s’isole autour duquel le combat cesse momentanément. Le duel dépasse la notion de la bataille engagée. C’est l’affrontement des héros qui requiert toute l’attention passionnée des témoins.
[…]
Guillaume cherche celui qu’il veut provoquer et abattre, car c’est l’âme réelle de la révolte : Arnulf de Bayeux (Traitre Jarl
). Ce dernier distingue de loin cette immense stature qui se dirige vers lui. Une subite frayeur le saisit devant la menace qui approche, grandit, va le rejoindre et prend des proportions terrifiantes. Il tourne bride et fruit derrière ses compagnons, hors de portée de Guillaume entouré de ses éclairs de sa grande épée qui tranche, pointe, pare, siffle. Les coups résonnent dans tout le corps du jeune guerrier qui cogne comme un bûcheron dans la masse qui se presse, cède, s’écarte, lui livre passage, mais en vain car Arnulf est loin.Raoul de Taisson, grisé par le spectacle de cette ardeur vengeresse, suit Guillaume, foulée après foulée, pare les coups qui lui sont destinés. Les clameurs lancées par sa voix de stentor évoquent celle de quelque dieu des batailles. Son rire énorme éclate dans la joie de cette ivresse guerrière qui entraîne les chevaliers normands et les jette sur leurs adversaires, qui refluent.
Les rives de l’Orne sont atteintes. Piétons débandés, chevaux, cavaliers démontés s’y précipitent pour échapper à la vague d’armes brandies qui les submerge, de poitrails écumants qui les culbutent.
C’est la défaite des coalisés. La première victoire de Guillaume qui, en quelques heures de combat a su conquérir l’admiration des vaincus comme des vainqueurs.
[…]
Les conjurés étaient écrasés, malgré la fureur quasi sacrée des grands guerriers scandinaves du Cotentin en proie au beersek.
Gui de Brionne se réfugia dans sa forteresse de Brionne, sur une île de la Risle où Guillaume établit un siège de longue durée.
Guillaume, vainqueur, fit montre d’une grande mansuétude qui étonna aussi bien ses amis
que ses ennemis.
[…]
Guillaume ne donne pas libre cours à ses ressentiments contre les chefs rebelles, agit sans hâte, les laisse s’inquiéter, puis les reçoit et le traite en amis retrouvés après une séparation qui facilite l’oubli. Il se rallie ainsi les vaincus. Seul, Gui de Brionne, enfermé dans sa forteresse, sur la Risle, résiste à l’offensive de la raison. Il ne se rendra que trois ans plus tard.
[…]
En désignant ainsi publiquement celui qu’il tenait pour responsable, Guillaume démontre la faillite de la conjuration et, par sa clémence, le peu de cas qu’il en faisait. La passivité avec laquelle les alliés de Gui de Brionne acceptèrent l’emprisonnement virtuel de leur chef démontre l’habileté de cette politique qui contribua à l’apaisement des esprits.
Veuillez excuser les erreurs de saisies, il est tard et j'ai sommeil
Jarlot- Nombre de messages : 12
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Date d'inscription : 16/06/2008
Re: La bataille de Val-ès-Dunes
Jarl Jeu 31 Juil - 13:03
Boujou.
Ah merci beaucoup pour ce récit de bataille Jarlot, quel plaisir de le lire !
Par contre, pourrais tu retrouver et mettreta source ?
Oui je sais
D'ailleurs si quelqu'un à de quelconques infos sur la vie d'Arnulf de Bayeux je suis preneur !
Tu m'étonne 4h22, t'ès complètement taré
Amicalement.
Jarl.
Ah merci beaucoup pour ce récit de bataille Jarlot, quel plaisir de le lire !
Par contre, pourrais tu retrouver et mettreta source ?Guillaume cherche celui qu’il veut provoquer et abattre, car c’est l’âme réelle de la révolte : Arnulf de Bayeux (Traitre Jarl
Oui je sais
D'ailleurs si quelqu'un à de quelconques infos sur la vie d'Arnulf de Bayeux je suis preneur !Veuillez excuser les erreurs de saisies, il est tard et j'ai sommeil
Tu m'étonne 4h22, t'ès complètement taré
Amicalement.
Jarl.
Jarl- Administrateur/Responsable de l'Action Normande
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Date d'inscription : 05/01/2008 -
Re: La bataille de Val-ès-Dunes
Jarlot Jeu 31 Juil - 15:36
La source je l'ai puisque je me suis embêté à recopier le bouquin 
Quand la Normandie était aux Vikings de Michel Planchon, il était à vendre aux médiévales je te l'avais montré.
Quand la Normandie était aux Vikings de Michel Planchon, il était à vendre aux médiévales je te l'avais montré.
Jarlot- Nombre de messages : 12
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Date d'inscription : 16/06/2008
Re: La bataille de Val-ès-Dunes
Jarl Jeu 31 Juil - 16:25
Ah ok tu l'a donc finalement acheté ?
Amicalement.
Jarl.
Amicalement.
Jarl.
Jarl- Administrateur/Responsable de l'Action Normande
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Localisation : Bayeux (14)
Avis sur la réunification : Pour
Date d'inscription : 05/01/2008 -
Re: La bataille de Val-ès-Dunes
Jarlot Jeu 31 Juil - 16:35
Je l'avais déjà depuis un p'tit bout de temps.
Jarlot- Nombre de messages : 12
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Date d'inscription : 16/06/2008
Re: La bataille de Val-ès-Dunes
Guillaume de Normandie Jeu 31 Juil - 16:47
Au passage, pour vos achats de bouquins pensez "Ebay", ce bouquin je l'ai trouvé à 4 € !
Boujou
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Guillaume de Normandie- Modérateur
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Re: La bataille de Val-ès-Dunes
Jarlot Jeu 31 Juil - 17:38
Ha oui, j'avais jamais pensé à acheter les bouquins sur e-bay, parce que 21€ à la fnac 
Jarlot- Nombre de messages : 12
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Date d'inscription : 16/06/2008
Re: La bataille de Val-ès-Dunes
LORD Jeu 31 Juil - 23:21
Boujou.
Quoi qu'on en dise Guillaume not'Duc est bien représenté comme dans la plus pure tradition des sagas... "grand, invincible et aux avant poste... et inspirant le respect de tous!".
Quoi qu'on en dise Guillaume not'Duc est bien représenté comme dans la plus pure tradition des sagas... "grand, invincible et aux avant poste... et inspirant le respect de tous!".
LORD- Nombre de messages : 24
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